*32 FERNANDO REDONDO, LE PRINCE - CONTES DE FOOT
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4 سال پیش
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Épisode 32 - Contes de
Épisode 32 - Contes de Foot
FERNANDO REDONDO
Pourquoi un joueur a-t-il été idolâtré à ce point en ayant joué moins de 400 matchs en carrière, et en ayant illuminé son sport pendant quelques saisons seulement ? La réponse vient tout droit du terrain entre les deux surfaces, le terrain de jeu de Fernando Carlos Redondo, là où il a su exprimer l’immense talent qu’il avait entre les pieds.
Sa patte gauche fantastique lui permettait d’appliquer à merveille le plan de jeu qu’il décidait sur un match, une mi-temps ou quelques minutes seulement, un schéma tactique suivi à la lettre par ses coéquipiers qui savaient faire confiance à un tacticien encensé par ses tous ses anciens coaches. Et quand on voit la facilité avec laquelle le Prince savait hausser son niveau de jeu dans les gros matchs, on ne peut s’empêcher de penser à une carrière encore plus belle pour un joueur écarté de la sélection argentine, et poussé vers la retraite par un genou qui a lâché lors de son arrivée en Lombardie.
Techniquement, Fernando était toujours au-dessus, défensivement, Redondo était toujours en avance, tactiquement, le Prince était le patron, il prenait l’information avant tout le monde et savait lire les phases de jeu adverses pour être sur d’avoir toujours un coup d’avance. Suffisamment costaud pour résister dans les duels et conserver la balle, la matrice était parfaite et le joueur vraiment unique. Redondo a toujours privilégié le collectif avant l’individu, une éthique presqu’inédite pour celui qui refusait son salaire à Milan quand il était blessé et qui marquait par sa gentillesse en dehors du terrain.
Fernando Redondo était celui qu’il vous fallait pour construire une équipe autour et rendre le collectif merveilleux, le football ayant trouvé l’un de ses portes drapeaux les plus prodigieux.
Musique de conclusion : Free Music / Cinematic Background Mus...
#Prince
FERNANDO REDONDO
Pourquoi un joueur a-t-il été idolâtré à ce point en ayant joué moins de 400 matchs en carrière, et en ayant illuminé son sport pendant quelques saisons seulement ? La réponse vient tout droit du terrain entre les deux surfaces, le terrain de jeu de Fernando Carlos Redondo, là où il a su exprimer l’immense talent qu’il avait entre les pieds.
Sa patte gauche fantastique lui permettait d’appliquer à merveille le plan de jeu qu’il décidait sur un match, une mi-temps ou quelques minutes seulement, un schéma tactique suivi à la lettre par ses coéquipiers qui savaient faire confiance à un tacticien encensé par ses tous ses anciens coaches. Et quand on voit la facilité avec laquelle le Prince savait hausser son niveau de jeu dans les gros matchs, on ne peut s’empêcher de penser à une carrière encore plus belle pour un joueur écarté de la sélection argentine, et poussé vers la retraite par un genou qui a lâché lors de son arrivée en Lombardie.
Techniquement, Fernando était toujours au-dessus, défensivement, Redondo était toujours en avance, tactiquement, le Prince était le patron, il prenait l’information avant tout le monde et savait lire les phases de jeu adverses pour être sur d’avoir toujours un coup d’avance. Suffisamment costaud pour résister dans les duels et conserver la balle, la matrice était parfaite et le joueur vraiment unique. Redondo a toujours privilégié le collectif avant l’individu, une éthique presqu’inédite pour celui qui refusait son salaire à Milan quand il était blessé et qui marquait par sa gentillesse en dehors du terrain.
Fernando Redondo était celui qu’il vous fallait pour construire une équipe autour et rendre le collectif merveilleux, le football ayant trouvé l’un de ses portes drapeaux les plus prodigieux.
Musique de conclusion : Free Music / Cinematic Background Mus...
#Prince
4 سال پیش
در تاریخ 1399/05/23 منتشر شده
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